Selon l’INSERM, la “migraine est une maladie chronique caractérisée par des crises récurrentes qui se traduisent essentiellement par d’intenses céphalées. On distingue deux principaux types de crises migraineuses : les crises de migraine sans aura, et les crises de migraine avec aura, c’est-à-dire accompagnées ou précédées par des troubles neurologiques transitoires”. Ainsi, pendant 4 à 72 heures, les personnes migraineuses subissent leurs maux de tête, parfois associés à des nausées, des vomissements ou une hypersensibilité à la lumière ou au bruit. Certains aliments peuvent apaiser ces symptômes.
Saumon, menthe, citron… les aliments anti-migraines
La douleur d’une migraine peut rapidement devenir insupportable. Il peut donc être utile de connaître certains remèdes simples et naturels pour la soulager. Ce peut être le cas de :
- La menthe : la fraîcheur de la plante aide beaucoup l’organisme. En effet, il s’agit d’une plante aux propriétés sédatives et antalgiques. On peut l’utiliser en infusion ou en huile essentielle en mettant quelques gouttes sur un mouchoir que l’on respire ;
- Le gingembre possède des propriétés anti-inflammatoires qui permettent de se soigner sans effet secondaire. La racine est à utiliser frais ou en poudre ;
- Le saumon : les acides gras essentiels du poisson possèdent des propriétés anti-inflammatoires. Elles permettent de réduire la violence des crises à condition d’en manger au moins deux fois par semaine ;
- Le café permet de réduire la sensibilité à la douleur en resserrant les vaisseaux sanguins cérébraux. Attention à ne pas en abuser, cela pourrait déclencher une crise;
- Le citron : le jus bu au quotidien aide à diminuer les migraines, notamment grâce à la vitamine C qui détend les vaisseaux sanguins. Elle permet également de diminuer la pression artérielle.
Les repas, un facteur déclenchant de la migraine
À ce jour, il n’existe pas de traitement curatif de la migraine. “La prise en charge de la maladie repose sur l’éviction des facteurs déclenchants modifiables (surtout ceux associés aux rythmes du sommeil et des repas)” affirme l’INSERM. Si votre alimentation (le fait de sauter un repas, un repas lourd, la présence d’alcool) est un facteur déclenchant, il est important d’y faire attention et de procéder aux changements nécessaires. Vous vous éviterez bien des désagréments.