Vous en avez marre de voir les taches incrustées sur le lèche-frites de votre four, même après plusieurs tentatives de nettoyage ? Bonne nouvelle, vous n'aurez plus besoin de produits chimiques agressifs pour venir à bout de cette corvée ! Avec la méthode maison de Bruno Gin, spécialiste du ménage, vous allez pouvoir redonner à votre lèche-frites une seconde jeunesse. À vous les frites maison !
La méthode infaillible pour un premier décrassage
La première étape consiste à mouiller généreusement la surface du lèche-frites avec de l’eau chaude et à appliquer une bonne dose de savon noir en pâte (et pas liquide car ça n’aurait pas le même effet). Ensuite, munissez-vous d’un tampon de laine d’acier triple zéro, idéal pour venir à bout des tâches incrustées sans abîmer la surface. Vous allez commencer par un nettoyage grossier, en frottant énergiquement. Il ne faut pas avoir peur d’y aller franchement, car les taches résistantes ne partent généralement pas avec une simple éponge abrasive. Une fois la surface bien humide, attaquez le nettoyage en douceur, mais avec détermination.
N'oubliez pas d’essorer régulièrement la laine d’acier pour retirer l'excès de mousse, et quand vous sentez que ça ne gratte plus assez, n’hésitez pas à prendre un nouveau morceau. Frottez par petits cercles, en couvrant toute la surface uniformément, et enlevez la mousse de temps à autre pour vérifier l'avancée de votre travail. Le plus long, c’est de s’attaquer aux coins incurvés du lèche-frites, où la saleté s’accumule souvent. Ici, vous pouvez utiliser la laine d’acier à sec pour plus d’abrasion, selon le niveau d'encrassement.
La touche finale pour un résultat impeccable
Une fois que vous avez éliminé la majeure partie des taches, il est temps de parfaire votre travail. Pour ce faire, utilisez du savon de Marseille et rincez soigneusement la surface du lèche-frites. Séchez-le bien à l’aide d’un chiffon propre. Cette dernière étape est simple, efficace et surtout écologique, car elle ne nécessite aucun produit chimique nocif. “On y arrive, faut juste y croire !”, conclut Bruno Gin.