Entre Paris et Trouville, l’animateur Antoine De Caunes dévoile ses adresses favorites pour bien manger

Amateur de bonne chair mais aussi de simplicité, Antoine de Caunes s’est livré au sujet de ses habitudes alimentaires à l’occasion du lancement de son nouveau magazine intitulé sobrement “Vieux” dans une interview avec le Parisien. Il y dévoile notamment ses plats préférés ainsi que ses adresses favorites.

Malgré sa vie à mille à l’heure, Antoine de Caunes prend volontiers le temps de s’attabler, dans le calme, pour partager un repas avec sa famille ou ses amis. Ne croyez cependant pas qu’il est fan des restaurants gastronomiques. De son propre aveu, “ les chichis des trois-étoiles” l’ennuient “profondément”. Ce qu’il aime, ce sont “les cuisines italienne et japonaise”. Lors de ses voyages, il se régale tantôt de “crudo”, du poisson cru, mais aussi “de fritures de poisson” et de “risotto”. “C’est une cuisine avec laquelle je me sens bien”, explique-t-il. Ce n’est d'ailleurs pas un hasard si son plat préféré n’est nulle autre que “les spaghetti alla puttanesca, avec des câpres, des tomates et des anchois”.

Ce grand amateur de poisson ne rate pas une occasion de s’en délecter. Lorsqu’il va rendre visite à sa fille à Trouville, il fait inévitablement un saut chez Pillet Saiter, une poissonnerie où il achète l’un de ses produits fétiches : la sole. C’est ensuite à sa fille que revient la lourde tâche de préparer une délicieuse sole meunière. L’un de leur mets préféré.

Concernant la cuisine japonaise, le cinéaste avoue apprécier particulièrement celle proposée par “le restaurant Yamamoto, rue Chabanais”, un établissement situé proche de son bureau. “Le chef Swan maîtrise l’art du sushi et déploie une incroyable imagination en fonction des ingrédients et de son inspiration”, raconte-t-il. Son second plat favori est d’ailleurs issu de cette cuisine : les sushis. “J’aime particulièrement ceux au thon toro (la partie grasse) ou au très bon saumon, ou encore à la liche, un poisson blanc très goûteux”, indique-t-il. Ce qu’il a en revanche en horreur, ce sont les abats, plus précisément “la cervelle d’agneau” et “les tripes”. “J’ai essayé, je me suis persuadé que j’aimais ça… Et finalement, non : je n’aime vraiment pas ça !”, précise-t-il.

Pour Antoine de Caunes, bien manger est primordial. “Pour moi, dans l’alimentation, l’important c’est ça : se sentir bien, explique-t-il, Tiens, en ce moment, je suis dans une période zéro alcool et, dès le matin, je suis totalement focus, en pleine forme.” Cependant, il lui arrive parfois d’être sujet aux fringales et aux envies incongrues. “Je suis régulièrement victime de tocades alimentaires. Je peux avoir une période épis de maïs, où je ne vais penser qu’à ça, ou cerises burlat, ou encore sardines en boîte. Je peux traverser tout Paris à la recherche de la sardine ultime. Je suis aussi obsédé par le chocolat, j’en mange tous les jours, de toutes sortes sauf le blanc”, avoue-t-il.