« Les Olmecs, les Mayas et, à leur suite, les Aztèques, révéraient le cacaoyer qu’ils qualifiaient de « nourriture des dieux » […] Ils le cultivaient dans leurs jardins et tiraient de ses graines une boisson qu’ils assaisonnaient de miel, de piment fort et d’autres condiments », explique le site de référence passeportsante.net : Chocolat et cacao.
Les Aztèques prêtaient aussi au cacao des vertus fortifiantes et aphrodisiaques, d’où la réputation un brin sulfureuse qui auréole aujourd’hui encore le chocolat et la débauche de cacao qu’on trouve autour du 14 février au rayon « cadeaux de Saint-Valentin ».
Cependant, à ce jour, aucune étude scientifique n’a vraiment prouvé les effets positifs du chocolat sur la santé sexuelle. En revanche, le cacao possède moult substances bénéfiques pour la santé. Particulièrement riche en flavonoïdes, une substance antioxydante, il diminue le risque d’infarctus. Et même si le chocolat contient des gras saturés, « il s’agit principalement d’acide stéarique, un gras qui n’est pas néfaste et qui exercerait même certains effets bénéfiques sur le plan cardiovasculaire », précise passeportsanté.net.
Récemment, un chercheur prouvait également que le chocolat pouvait être plus efficace contre la toux que les remèdes classiques : Le chocolat plus efficace qu'un sirop contre la toux.
Bref, croquez sans complexe dans votre tablette de Saint-Valentin, elle ne réveillera peut-être pas votre libido mais elle est excellente pour votre cœur (et votre gorge).