C’est moche à dire, mais on aimerait autant ne pas les avoir à dîner le soir de Noël.
- Le ventre
C’est Noël, vous avez donc cuisiné généreusement. Seulement, il a un appétit tellement débridé qu’il expédie le contenu de son assiette en une seconde chrono, se ressert au bout de trois… Conclusion, vous avez l’air d’avoir radiné sur les proportions.
- L’intolérant à tout
Il ne mange ni gluten, ni lactose, ni fruits secs, ni œufs, ni fruits exotiques depuis plus de 10 ans et a toujours d’atroces histoires de chocs anaphylactiques à raconter. L’angoisse.
- Le vegan
Votre menu de Noël : huîtres, foie gras, volaille et bûche à la crème. En un mot, les grands piliers de l’exploitation animale. Et on ne parle même pas de ce petit pull en cachemire que vous portez.
- Le dégoûté
Les fruits de mer ? Erk, gluant. La viande ? Trop sanglant. Quant aux marrons, ils ressemblent, selon lui, a de minuscules cerveaux. Bref, il est plus difficile qu’un enfant qui vient d’arrêter le lait en poudre. Désespérant.
- Le fin connaisseur
Il ne boit que des grands crus et se fournit EXCLUSIVEMENT chez les meilleurs producteurs/éleveurs de la région. Bref, vous sentez déjà le regard de pitié qu’il vous lancera lorsque vous apporterez votre volaille qui n’a pas eu six hectares pour s’ébattre.