“Une recette de gougère qui gère” : François-Régis Gaudry dévoile la méthode de LA spécialiste de ce classique !

Cette fois, c’est en compagnie de Sophie-Laurence Roy-Clemandot, “la Grand Chambellan de la Guilde des Goûteurs de Gougères” que les internautes ont pu découvrir François-Régis Gaudry. Dans une vidéo publiée sur Instagram, cette spécialiste de cette préparation bourguignonne a partagé toutes ses astuces pour concocter “une recette de gougère qui gère”. Pour régaler les papilles de vos convives, elle a opté pour la version de Bernard Loiseau, dont la cuisine a fait le succès de la Bourgogne dans les années 80 et 90. Nous vous dévoilons sans plus tarder la marche à suivre pour réussir .

• 125 ml d’eau
• 125 ml de lait
• 110 g de beurre
• 125 g de farine
• 3 à 4 oeufs
• 110 g de comté 12 mois coupé en dés
• Du sel

1. Après avoir préchauffé le four à 190°C, faites bouillir l’eau, le lait, le beurre avec une bonne pincée de sel.
2. Hors du feu, ajoutez la farine en une fois et mélangez rapidement pour l’incorporer en veillant à ne pas laisser de grumeaux.
3. Replacez la casserole sur le feu pour dessécher la pâte. Celle-ci est prête lorsqu’elle se détache de la casserole et de la cuillère en bois.
4. Laissez la pâte tiédir avant d’y incorporer les œufs un à un, en remuant bien entre chaque. Les œufs doivent être intégralement mélangés à la pâte qui doit devenir lisse et brillante.
5. Déposez les dés de comté et remuez à nouveau.
6. Avec 2 cuillères, formez des boules de pâte de la taille d’une balle de ping-pong et disposez-les sur du papier cuisson en veillant bien à les espacer.
7. Enfournez-les à four chaud jusqu’à ce qu’elles soient dorées pendant environ 40 min pour la couronne, entre 20 et 25 minutes pour les individuelles.
8. N’hésitez pas à ouvrir le four pendant la cuisson pour permettre à la vapeur d’eau de se dissiper : elle ne retombera alors pas sur la gougère qui restera gonflée même après la sortie du four.

Pour éviter d’oublier d’ouvrir la porte du four tout au long de la cuisson des gougères, le journaliste gastronomique suggère de “coince[r] la queue de la cuillère en bois dans l’ouverture” de cette dernière.