Trois repas par jour
Ne jeûnez pas en prévision d’un gros repas. Affamer son corps pour lui proposer ensuite une grande quantité de nourriture est la meilleure façon de le faire stocker. Avant les fêtes, mangez normalement.
Un planning bien ficelé
Dans la mesure du possible, essayez de ne pas enchaîner deux repas très copieux dans la journée. Si vous avez prévu de banqueter le 24 décembre au soir, prévoyez un repas simple à midi. Et si c’est repas de famille le 25 à midi, dînez ensuite d’une soupe ou d’un bouillon maison.
Moins d’alcool
L’alcool joue un grand rôle dans les excès caloriques des fêtes. Et si, cette année, on gardait le vin pour le repas voire le dessert, en testant un virgin apéro ? L’apéro sans alcool a, en plus, le mérite de ne pas rendre obligatoires les petits fours destinés à « éponger ». Si on préfère boire à l’apéro, on peut se dire qu’on fait le reste du repas à l’eau.
De l’équilibre
On n’oublie pas ses cours de Sciences nat : un repas se compose avec la juste dose de protéines, de glucides et de fibres. Pour rappel, l’assiette idéale, c’est un quart de protéines (viande, poisson, oeufs), un quart de glucides (pain, céréales…) et une moitié de végétal. La bonne solution pour ne pas oublier le vert à Noël : des fruits frais, un velouté en entrée, une ou deux garnitures végétales pour la dinde.
Gras et sucre en sourdine
Quelques idées pour limiter le gras et le sucre : des coquillages à la place du foie gras/du saumon (huîtres, Saint-Jacques, pétoncles, moules…) une volaille rôtie simplement sans farce, un sorbet de fruits de saison à la place de la bûche glacée.
Non, merci
On surveille aussi les quantités qu’on ingère. Pour ne pas exploser les scores, on goûte de tout mais on ne se ressert pas, même si c’est proposé avec tout l’amour du monde.
Une tisane digestive
Après le dessert, on ne sort pas les chocolats mais plutôt une bonne tisane aux propriétés digestives et on motive tout le monde pour une balade, au lieu de végéter en attendant le prochain repas.