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Retrouver des animaux dans son plat est beaucoup plus courant que ce que l’on pourrait penser. Cela arrive généralement dans les fast-food. On vous a, en effet, parlé en juillet dernier de cette cliente de McDonald's, qui avait trouvé un lézard sans son sandwich. Un situation qui peut paraître insolite et pourtant, en début de ce mois d’octobre, un événement similaire a eu lieu chez Quick. Cette fois, ce n’est pas un reptile mais bien une souris morte qu’une habitante a découvert dans son Big Tasty. En Effet, alors qu’elle passe sa commande via Uber Eats, une fois celle-ci reçue qu’elle n’a été sa stupeur quand elle a découvert l’animal mort au cœur de son burger. Une événement traumatisant qui l’a amenée à porter plainte contre l’enseigne.
Mais cette histoire n’est pas un cas isolé et retrouver des animaux ou insectes arrive et pas seulement dans les fast food. Récemment, c’est à la cantine que des adolescents ont été confrontés à un problème similaire. Une histoire qui leur a coupé l’appétit et on comprend pourquoi. Voici les infos.
Un plat de pâtes avec quelque chose en plus…
Le jeudi 6 octobre dernier, des élèves du lycée Camille-Claudel de Caen ont eu une mauvaise surprise en se rendant à la cantine. En effet, en mangeant leur plat, les adolescents ont remarqué la présence d’asticots dans leur assiette. Surpris, les jeunes ont décidé de filmer le contenu de leurs pâtes avec les vers vivants et de poster les vidéos sur les réseaux. Les lycéens ont voulu partager leur colère face à cette situation : “ Voilà ce que l'on sert aux élèves à la cantine du lycée Camille-Claudel ! Inadmissible", s'est exclamée une parente d'élève en relayant l'une des vidéos. En prenant connaissance de ces différents posts, la direction du lycée a affirmé avoir vidé “par précaution” la réserve de nourriture scolaire en jetant "plus de la moitié des stocks - pâtes, semoule, riz, etc. - dont nous disposions” explique l’établissement.
Caen: des vers retrouvés dans les assiettes de lycéens à la cantinehttps://t.co/kQaYK5bmNIpic.twitter.com/PjgASReAXB
— BFMTV (@BFMTV) October 7, 2022
Face à cette situation, la Direction Départementale de Protection des Populations (DDPP) a décidé d’agir. Elle s’est ainsi rendue directement sur place le lendemain afin d’effectuer une inspection des cuisines. Résultat ? “Aucun problème d'hygiène” n'a été relevé.
Lundi 10 octobre, les résultats réalisés en laboratoire ont été révélés. Ils ont ainsi montré que les asticots viendraient du sac de pâtes crues utilisé pour cuisiner le plat servi aux lycéens. Les nouvelles se veulent rassurantes puisqu’il n’y aurait aucun danger pour la santé. Le proviseur a enfin commenté en expliquant : "Nous avons mis et mettons tout en œuvre pour que cette situation ne se reproduise pas au sein de notre lycée".
Le jeudi 6 octobre dernier, des élèves du lycée Camille-Claudel de Caen ont eu une mauvaise surprise en se rendant à la cantine. En effet, en mangeant leur plat, les adolescents ont remarqué la présence d’asticots dans leur assiette. Surpris, les jeunes ont décidé de filmer le contenu de leurs pâtes avec les vers vivants et de poster les vidéos sur les réseaux. Les lycéens ont voulu partager leur colère face à cette situation : “ Voilà ce que l'on sert aux élèves à la cantine du lycée Camille-Claudel ! Inadmissible", s'est exclamée une parente d'élève en relayant l'une des vidéos. En prenant connaissance de ces différents posts, la direction du lycée a affirmé avoir vidé “par précaution” la réserve de nourriture scolaire en jetant "plus de la moitié des stocks - pâtes, semoule, riz, etc. - dont nous disposions” explique l’établissement.
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Face à cette situation, la Direction Départementale de Protection des Populations (DDPP) a décidé d’agir. Elle s’est ainsi rendue directement sur place le lendemain afin d’effectuer une inspection des cuisines. Résultat ? “Aucun problème d'hygiène” n'a été relevé.
Lundi 10 octobre, les résultats réalisés en laboratoire ont été révélés. Ils ont ainsi montré que les asticots viendraient du sac de pâtes crues utilisé pour cuisiner le plat servi aux lycéens. Les nouvelles se veulent rassurantes puisqu’il n’y aurait aucun danger pour la santé. Le proviseur a enfin commenté en expliquant : "Nous avons mis et mettons tout en œuvre pour que cette situation ne se reproduise pas au sein de notre lycée".