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La crise économique a durement impacté le secteur de l’alimentaire en 2022. Le problème ? Cette nouvelle année ne risque pas de voir cette situation s’améliorer. En effet, le mois de mars est d’ores et déjà appelé comme le “mars rouge”.
Si les derniers chiffres de l'inflation affichent une légère baisse, puisque cette dernière s’élevait de 5,9% en décembre contre 6,2% en novembre, la tendance risque de s’inverser dans les prochains mois. Ainsi, le prix du panier de courses dans les supermarchés pourrait subir une forte hausse. Les consommateurs vont devoir faire face à une augmentation majeure dès le 1er mars. Le site Cnews affirme que cette nouvelle s’explique par “l’augmentation tarifaire dans l’agroalimentaire, votée en fin d’année 2022. Certains parlent ainsi d’un «mars rouge». Selon les informations de Midi Libre, des industriels ont demandé entre 10 et 25 % d’augmentation pour la vente de leurs produits aux distributeurs".
De nombreux produits du quotidien vont donc voir leur prix décoller. C’est notamment le cas des yaourts. Très appréciés des Français, chaque année un consommateur n'en mange pas moins de 170 pots, soit 21 kilogrammes. En 10 ans, ses ventes ont d’ailleurs subi une hausse de 20%. Mais attention en 2023, sa cote pourrait peut-être bien baisser à cause de son prix. On fait le point.
Un yaourt qui vaut de l’or !
Dans quelques mois, les Français pourraient bien assister à une hausse inédite des tarifs . Si certains produits du quotidien ont déjà augmenté, le phénomène risque bien de persister en 2023.
Face à cette situation, le secteur de la grande distribution tire la sonnette d'alarme. Le Président de l’enseigne Système U, Dominique Schelcher affirme “actuellement, les fournisseurs viennent nous voir avec des demandes de hausse, on va dire à deux chiffres”.
Les produits laitiers sont les premiers concernés par ce phénomène. Si le prix du beurre ou des yaourts a déjà clairement pris son envole en 2022, cela pourrait encore s’empirer. En cause ? Les grands groupes laitiers demandent une hausse des prix de vente en supermarché de 15 à 20% dans les rayons. Le but ? Lutter contre les coûts de l’énergie beaucoup trop élevés. Une crise similaire également chez les petits producteurs qui se sont vus t obligés d'augmenter leurs tarifs face au prix des matières premières.
D'autres produits sont également en ligne de mire de cette crise économique.
Et pour vous aider à faire face, on vous dévoile les 7 produits à ne plus acheter pour survivre face à l'inflation.