"Elle met à la fois l’acidité et la gourmandise en valeur" : quel est cet ingrédient dont Simone Zanoni ne peut pas se passer ?

Simone Zanoni est aujourd’hui devenu une référence dans le milieu de la gastronomie. Chef du restaurant le George, au Four Seasons à Paris,, le cuisinier n’hésite pas à dévoiler régulièrement sur ses réseaux sociaux ses meilleures recettes. Dernièrement, on vous a d'ailleurs partagé sa recette d’arancini. Aujourd’hui, pas de recette à l’horizon. Le chef a dévoilé son ingrédient préféré dont il ne peut pas se séparer. Mais quel est-il ?

C’est dans une interview accordée à Télé 7 jours, que le chef a parlé d’un produit qu’il affectionne particulièrement : l’huile d’olive. Ambassadeur des huiles Costa d’Oro, chez ce chef italien, c’est presque de l’huile d’olive qui coule dans ses veines.

Entre le beurre et l’huile, pour lui, pas de difficulté à choisir, son cœur balance fortement du côté de la cuisine méditerranéenne, la cuisine du soleil. D’ailleurs, dans sa cuisine, impossible de ne pas utiliser cet ingrédient. C’est simple, le chef reconnaît en mettre “partout” ! “Pour 80 % de mes recettes, elle trouve sa place aussi bien dans un plat salé que dans un dessert ! En cuisson, en assaisonnement, en finition… elle ne cache pas du tout le goût des aliments. Elle met à la fois l’acidité et la gourmandise en valeur”.

Car oui, si habituellement l’huile d’olive s’utilise dans les recettes salées, le chef s’affranchit des règles culinaires et ose intégrer cet ingrédient dans de superbes desserts : “Par exemple, dans mon gâteau au chocolat, avec du romarin, ou bien dans ma soupe de fraises, avec de la glace au persil. Une association qui offre de nouvelles sensations gustatives”.

Une idée qui est d’ailleurs de plus en plus en vogue en ce moment. Dernièrement, sur TikTok, de nombreux gourmets ont vanté les mérites de la glace à la vanille saupoudrée d’un peu de fleur de sel et sublimée d’un filet d’huile d’olive pour révéler son goût.

Néanmoins, si le chef ne jure que par l’huile d’olive, il ne l’utilise pas toujours. C’est le cas par exemple pour l’eau de cuisson des pâtes. Si beaucoup ajoute un filet d’huile d’olive, c’est un geste impensable pour Simone Zanoni : “Jamais ! Je suis un Italien, je ne m’appelle pas Philippe Etchebest !(Rires) En revanche, il faut toujours les cuire dans un grand volume d’eau et acheter des pâtes de bonne qualité, de préférence artisanales”.

Car comme tout Italien qui se respecte, après l’huile d’olive, les pâtes restent également un aliment que le chef affectionne particulièrement !