MARIE ETCHEGOYEN / M6
Ce mercredi 19 juin, le public va pouvoir assister à la finale de Top Chef saison qui oppose Clotaire et Jorick. La grande finale est généralement un moment éprouvant. Les deux candidats finalistes ont tous les ans comme défi de réaliser un menu de A à Z, entrée - plat- dessert, pour les 100 bénévoles de la Croix Rouge. Un challenge intense.
Il y a quelques années, c’est Louise Bourrat qui a justement affronté cette épreuve. Un moment difficile pour la jeune femme qui était mal en point à ce moment là de la compétition. Elle s’est confiée sur ce sujet dans une interview à Télé-Loisirs.
"J’étais au fond du trou"
Le jour de la finale, la pression atteint son paroxysme pour les candidats de Top Chef. Les émotions sont mises à rude épreuve. Mais en plus de cela, la candidate Louise Bourrat a dû faire face à divers problèmes de santé. En effet, la jeune femme a confié à nos confrères avoir été souffrante le jour du tournage de la finale : “J'étais très malade ce jour-là. Je n'ai pas dormi de la nuit, j'avais mes règles, j'étais au fond du trou car je fais de l'endométriose. Je dois prendre plein de cachets dans la journée. C'était très dur”. La jeune femme n’a pas d’autre choix que de prendre sur elle et de serrer les dents. Elle affirme que cette finale a été “l’un des pires moments de sa vie”.
Le covid en toile de fond
A l’époque, le virus du Covid était particulièrement présent, elle redoutait donc de l’avoir contracté : "J'avais potentiellement le Covid. J'ai été cas contact une semaine avant la finale. On a été mis en quarantaine. J'avais des tests PCR tous les jours". Une fatigue extrême et une finale d’autant plus éprouvante pour la cheffe :”Je ne l'ai pas eu, mais je n'étais pas très en forme quand même le jour de la finale. Et le surlendemain, j'avais le covid ! Je pense qu'avec le stress, mon système immunitaire était HS”. Malgré ce virus, Louise Bourrat a su faire abstraction des symptômes et de sa fatigue. Elle a ainsi remporté le concours Top Chef en 2022. Une victoire d’autant plus belle. Bravo Louise !