Finaliste de l’émission Top Chef en 2020,Adrien Cachot a su se démarquer dans le monde culinaire grâce à son approche unique et son goût pour l'originalité. Avec un palmarès impressionnant et une créativité sans limites, il est devenu une figure incontournable de la gastronomie française. Mais que mange ce chef hors norme lorsqu’il quitte les fourneaux de son restaurant ? Et quels sont les plats qu’il préfère éviter ? Le jeune chef s’est confié dans les colonnes du Parisien ce 8 juin 2024.
Les préférences culinaires d’Adrien Cachot
Au sein de son restaurant Le Vaisseau situé dans l’Est parisien, Adrien Cachot aime surprendre. En effet, ce dernier n’est pas un adepte des créations culinaires simples et ennuyeuses. Ce que préfère l’ancien candidat de Top chef ? “Cuisiner des plats que les gens ne pourront pas reproduire chez eux”. “Comme client, et je suis un gros consommateur, j’aime prendre des claques… Mais parfois, moi aussi, je vais chercher des plats que je connais bien, pour le réconfort”, explique-t-il. À l’inverse des préparations qui traversent son imagination ainsi que celles apposées sur la carte de son établissement, Adrien Cachot est friand des plats simples et conviviaux comme la “fideua (un genre de paella avec des vermicelles à la place du riz), la lahmacun (pizza turque à la viande) et surtout le super kebab”. Son repas typique ? “Ça dépend de l’heure ! Là, il est 18 heures, ce sera un plat de pâtes, n’importe lequel. À 23 heures, en fin de service, ce serait une bière ! Et un peu plus tard, un kebab.”, indique l’expert culinaire auprès de nos confrères.
Quel est le plat qu’Adrien Cachot déteste manger ?
Gustativement parlant, Adrien Cachot n’est pas difficile. “Je crois que je ne déteste aucun plat.”, indique-t-il. Néanmoins, une préparation typiquement française ne fait pas l’unanimité auprès des papilles du chef. “La quiche, peut-être, qui m’a traumatisé à force d’en manger. Mais bon, quand elle est bien faite, j’aime bien”, commente-t-il. Enfin, après réflexion, le jeune homme est revenu sur ses paroles. “Ah, si : je n’aime pas trop le natto, du soja fermenté. Je ne suis pas fan ni du goût, ni de l’odeur, ni de la texture.”, conclut-il. Comme quoi, même les plus grands professionnels du secteur n’apprécient pas tous les aliments qui composent la gastronomie française et étrangère.